«Un à un, les accomplissements d'une vie ont disparu. Cet appareil photo était mon dernier bien, mais je ne pouvais pas me résoudre à le vendre.»

«Ce t-shirt m'a gardé en sécurité. Quand je le porte aujourd'hui, je me souviens des difficultés que j'ai rencontrées et des larmes coulent de mes yeux.»

«Ces oiseaux me rappellent tout ce que j’ai chéri dans ma vie.»

« Je garde le billet afin de ne rien oublier, pour me souvenir de ce que nous avons vécu et chérir tout ce que nous avons maintenant. »

«Le berceau a plus de 23 ans maintenant. Mes deux filles aînées y ont grandi. Mes meilleurs souvenirs sont liés à cette crèche.»

«Seule la mort me séparera de cette photo, rien d’autre.»

«Je vois mon fils au travers de cet objet. Chaque jour, est semblable au jour ou je l'ai perdu.»

« Plus j'apprends à connaître les gens, plus j'aime les chiens », confie Valerii, paraphrasant le satiriste américain Mark Twain, tandis qu'il est assis avec sa famille et ses chiens à la table bancale d'une ferme près du village de Novyi Donbas, à l'est de l'Ukraine.

« Je pense que pendant un certain temps, j’ai associé la vache à la stabilité, à l'harmonie et à l'autonomie que nous avions avant le déplacement. » 

« Retrouver son trophée nous a vraiment rappelé des souvenirs de mon fils et moi. Il a travaillé très dur pour ce trophée et s'entraînait tout le temps. Il m'a toujours rendu fier. »

« La première chose que j'ai emportée, c'est le landap que mes grands-parents m'ont donné. Je dois le protéger car il représente la tribu Maranao ».

« Pour ma part, ce qui m'a le plus aidé pendant cette période de ma vie, c'est la spiritualité, le fait d'avoir Dieu près de moi. »